Guy Bourgeault disait que « le lieu de l'éthique est celui de la discussion et du débat, avec la diversité des convictions et des options qui s'y croisent et qui se confrontent, entrant en conflit, et non, d'emblée, dans le consensus même provisoire, qui peut en résulter, »7, suggérant que l'important dans l'éthique, c'est . Là encore, nous sommes au niveau du présupposé, de l’hypothèse. 34,10 €. » La justice, la loyauté, la générosité et la responsabilité individuelle sont des idéaux supérieurs auxquels on croit important d'obéir : ce sont des valeurs morales. Je ne nie pas non plus qu’il puisse y avoir des cas de figure où la connaissance progresse malgré l’expression de position dogmatiques, relativistes ou des attitudes de rejet et de mépris (ne serait-ce que par l’explicitation de leur existence). Ce qui relance la discussion ce sont surtout les obje. > A ce sujet, cf. Selon la déclaration de Cambridge sur la conscience, un texte signé en 2012 et faisant état des connaissances les plus à jour en cognition animale, « les humains ne sont pas seuls à . Cependant, c’est une hypothèse fertile. Elle permet tantôt d’être plus efficace (lors de la réalisation d’une tâche), plus responsable (cf. DOI : https://doi.org/10.3406/chris.1993.1637, www.persee.fr/doc/chris_0753-2776_1993_num_40_1_1637. Se quiser pode ainda acrescentar um pequeno comentário, de seguida clique em 'confirmar'. La plupart des principes énoncés ci-dessus correspondent à des critères plus ou moins explicites issus entre autres de l’épistémologie des sciences. Comme le sport, on sait que c'est bon pour la santé, mais ça demande des efforts. Communiquer implique de se faire comprendre (n’en déplaise à certains polémistes) – et donc de prendre en compte les publics, dans une logique coopérative -, mais aussi une certaine honnêteté, caractérisée elle aussi par la transparence (par rapport aux sources, aux méthodes de récolte, etc.) »), ces pseudo-débats ont probablement un rôle à jouer…. Ces éléments et positionnements existent. Premièrement, au niveau des théories et thèses scientifiques valides, et plus généralement de la vérité. De plus, certaines généralisations sont abusives, certains discours sont incorrects (cf. Moi-même, j’apprécie de me livrer à des exercices rhétoriques, d’échanger des arguments (des « coups ») ainsi que d’être poussé dans les limites de mon raisonnement. Un exemple typique de comportement pédant se retrouve formulé parfaitement dans l’impératif « relisez ». L'éthique de la discussion cherche à dépasser l'opposition entre l'universalisme abstrait et le . C’est seulement à partir de ce début d’année 2013 que j’ai recommencé petit à petit à aborder des thématiques plus philosophiques, et surtout à discuter et à débattre, sur différents forums. Cela conforte par contre les choix du pluralisme, de la philosophie analytique de Russell et du perspectivisme : les propos sont bien à situer dans une certaine mesure. II. Toutes deux procèdent en réalité du même mépris, de l’ignorance des complémentarités possibles. En langage d'initiés, on parle simplement des 4 C, soit autant de qualités retenues pour juger de la valeur d'une gemme. Le fait que ces schémas mentaux soient figés, difficilement « mobiles », a l’avantage de les rendre d’autant plus prévisibles : pour qui aime les joutes verbales stériles, les démonstrations de force et d’influence, ou encore les clashs dualistes qui permettent de prendre des positions radicales et ainsi de se définir socialement en tant que personne (« moi, j’appartiens à ceux qui sont contre ! À moins de tenir les questions éthiques pour des questions de choix arbitraire et de leur refuser toute solution objective, il faut admettre la possibilité d'un principe de discernement qui permettra de justifier ou non les normes ou les maximes. Le statut de journaliste ne peut être reconnu à celui qui ne démontre pas avoir eu pour activité principale une contribution à une publication quotidienne et périodique ou agence de presse et en avoir tiré le principal de ses ressources. -, de leur échelle géographique, de la méthode explicite ou implicite qu'elles déploient, des savoirs . Nous examinerons la façon dont l'éthique a des implications apologétiques et, inversement, la . La « sacralisation » c'est bien le refus de la politique. Pour remettre de la clarté dans la confusion et redonner place au début, Frédéric Worms. Cet extérieur, c’est précisément le « hors-jeu », ce qui n’est pas dans le jeu, et qui donc ne répond pas à ses règles. Si on joue, on respecte les règles. La question de la connaissance est intrinsèquement liée à celle de l’action humaine, et ce à plusieurs niveaux. )[1]… La connaissance peut aussi procurer du plaisir, ou encore permettre une certaine socialisation. Dans cet ouvrage initialement paru en 1991 et traduit par Marc Hunaydi de la Faculté de Genève, J. Habermas poursuit calmement un certain nombre de conversations philosophiques pour appuyer sa théorie de l'agir communicationnel et son éthique de la discussion. Par rapport à des discussions de la vie courante, ce cadre éthique n’est pas forcément nécessaire, qu’il s’agisse de partager des informations ou de prendre des décisions. Lakoff : “La discussion, c’est la guerre”. Cf. Il n'y a pas d'opinion ou de jugement impliqué dans le processus. Par Corine Pelluchon, cinquante-cinquième séminaire de Momentum, 16 juin 2017. Projets en cours de réalisation. En effet, si d’une part il s’agit d’un engagement, il s’agit également d’un temps de reconnaissance de la finitude (cognitive) de la raison humaine : concrètement, il y a des choses que nous ne pouvons considérer comme évidentes dans l’absolu. Il faut noter également que nous nous situons ici dans le contexte d’un échange d’idées ou de l’élaboration de pensées relativement complexes. Qu'est-ce que l'ethique d'affaires Realisme et relativisme Les grandes theories ethiques. Que cette nouvelle connaissance soit intégrée par l’intermédiaire de ce que d’aucuns appellent un « conflit cognitif » ou par une autre forme de cognition (cf. Si on ne respecte pas les règles, on ne joue pas. Une objection recevable à cette proposition philosophique consiste à relever le fait que la connaissance (en sciences ou à un niveau individuel) a parfois progressé suite à des luttes, des échanges musclés, des conflits, des heurts et des chocs. Les enjeux environnementaux et climatiques des TIC et de l'intelligence artificielle. De nombreux discours sont en effet marqués par des débats idéologiques, entre partisans de méthodologies conservatrices ou progressistes, par exemple. On essaie de le pratiquer en groupe, et on ne trouve jamais personne pour faire équipe. Une seconde, que l'on peut qualifier d'intersubjective, porte l'exigence au niveau de l'acceptation de la maxime par tout être raisonnable. Par ailleurs, Grice considère que la conversation est sous-tendue par un principe de coopération : lorsque je m’exprime, je souhaite être compris, ou du moins avoir un impact sur mon interlocuteur, et réciproquement. Pierre Macherey - Introduction a l'ethique de Spinoza. C’est une présomption qui induit un certain mépris, un rejet de l’autre, marquée par un argument d’autorité. Dans cet ouvrage initialement paru en 1991 et traduit par Marc Hunaydi de la Faculté de Genève, J. Habermas poursuit calmement un certain nombre de conversations philosophiques pour appuyer sa théorie de l'agir communicationnel et son éthique de la discussion. management de l'entreprise p.2. -, de leur échelle géographique, de la méthode explicite ou implicite qu'elles déploient, des savoirs . De l'éthique de la discussion. Méthodologie: choix et descriptions des méthodes de recherche 5. Le rapport de l’enseignant à la connaissance, comme celui du scientifique, mérite d’être marqué d’humilité. Elle progresse par essais et erreurs, par discussions, en prenant en compte les incertitudes, les apports des autres théories, les délimitations, etc. Nous considérerons dès à présent la nature de ces liens. : Δdocument.getElementById( "ak_js" ).setAttribute( "value", ( new Date() ).getTime() ); © 2021 Philosophie, médias et sociétéTous droits réservés. critique de l’induction par Hume), parce qu’il n’y a pas de preuve que le monde est cohérent et ordonné ou encore parce que je pourrais être enfermé dans une illusion. Source : Pictoline.com. Dans cette partie, je tiens à mettre en avant ce qu'on pourrait appeler une éthique personnelle, ou plutôt une ligne de conduite à laquelle j'adhère et que je mets en pratique au fil du temps.Ce mode de pensée ou de voir les choses n'engage que moi et je ne l'imposerai à personne. L’idée est surtout de dire que certains coups sont permis et d’autres non. Je doute cependant que ces attitudes et positions bornées, lorsqu’elles sont radicales et répétées, soient les plus favorables à la construction du savoir (au minimum pour les individus qui les adoptent ou les revendiquent). Mon expérience des discussions, argumentations et débats me permet aujourd’hui de relier entre eux plusieurs « fragments » d’écrits en épistémologie (question du savoir, de la connaissance, de la « vérité ») et en éthique (question de l’action humaine, de la liberté, du « bien »), et de les illustrer par des cas concrets et des métaphores. Livre broché - 9,00 € Livre broché - 34,10 € Livre broché - 9,20 € - Pas disponible. [2] Il convient de distinguer le constructivisme comme position philosophique des méthodologies dites « socioconstructivistes » au niveau de l’apprentissage. Portrait de Corine Pelluchon par Emmanuelle Marchadour. Concrètement, à ce moment-là, on n’est plus dans un échange. De même, « ne pas faire aux autres ce qu'on ne veut pas qu'ils nous fassent » est une règle que plusieurs trouvent fondamentale. Si on ne respecte pas les règles du jeu, on ne joue pas, tout simplement. Avant de « savoir » et d’être éclairé, le savant serait ignorant. Le premier indice est celui de l'hétérogénéité radicale de ces pratiques, aussi bien du point de vue de leurs finalités - discussion, transformation des pratiques, rédaction d'une charte éthique, aide à la décision, etc. Veuillez recopier les caractères qui figurent sur l'image suivante * Goodpaster, au contraire, est tout à fait ouvert au fait de donner une considération morale aux entités "supraorganismiques" et aux espèces : « Le critère [être vivant] pourrait être admis L’histoire des sciences de la nature met le doigt sur des erreurs de jugements, des lacunes de certaines théories… Aux niveaux individuel et social, de nombreux biais perceptifs et cognitifs existent. L'orientation dialogique de l'éthique repose sur l'impératif de soumettre la maxime de l'action à l'examen critique de tous par la discussion. Nous avons vu dans la première partie de cet article que des liens existent entre l'apologétique et l'éthique. Dans l’avant-propos de son ouvrage L’Homme en contexte (2012), Mark hunyadi explique l’importance du contexte pratique dans l’élaboration du savoir : « Ce fut une des grandes performances philosophiques du 20e siècle que de mettre au jour l’immense continent obscur de l’arrière-plan contextuellement déterminé des pratiques non réfléchies que présupposaient les moindres de nos activités courantes : […] tout cela présuppose à chaque fois un véritable continent enfoui de « savoir pratique » culturellement imprégné que nous mettons systématiquement en œuvre sans pourtant en avoir une connaissance explicite. [3] Les discussions possibles sont nombreuses et il est fort probable que je n’envisage pas toute la portée de la thèse proposée ici. La complexité du réel invite à être très nuancé, et les liens entre les différents paradigmes sont très nombreux. Lorsqu’un comportement méprisant / de rejet (dont ceux issus d’idéologies, de dogmatismes et relativismes, contraires aux principes de pluralisme, de pragmatisme, de perspectivisme, etc.) Pour en savoir plus : Wikipédia – Faut-il tolérer l’intolérance ? Le « re » de « relire » a un intérêt sémantique particulier : il signifie que quiconque s’exprime sur le sujet ne peut qu’avoir déjà lu la référence dont il est question. Le caractère social de nos jugements moraux leur confère leur universalité . L'acrobatie cognitive que je me propose à faire avec vous devra éviter certains écueils qui s'appellent préjugés. Il en existe sans doute d’autres. Cette coopération sous-entend entre autres des principes de clarté, d’intention, etc. Questce que lethique daffaires Realisme et relativisme Les. Il importe en outre de remarquer que le principe intersubjectif, lorsqu'il est pris au sérieux, implique non seulement l'idée d'un accord universel auquel l'individu qui réfléchit soumet sa maxime, mais encore l'appel au jugement d' autrui, jugement dont rien ne prouve que nous puissions l'anticiper avec certitude dans notre réflexion solitaire. Veuillez toutefois noter que je ne rédigerai pas votre dissertation de philo à votre place. Par ce fait, ils disqualifient en réalité la discussion en elle-même. le critère de la souffrance ou de la sensation comme base d'une considération morale. L'interprétation intersubjective demeure cependant monologique si l'acceptation par tout être raisonnable est seulement pensée. On ne va pas ainsi fixer le critère de validité de la norme, mais uniquement vérifier si la norme est valide selon le bien ou le mal. Lhuilier Dominique, « Le « sale boulot » », Travailler, 1 septembre 2005, n° 14, n o 2, p. 73‑98. De manière générale, toute personne qui prétend développer un discours cohérent et en adéquation avec le réel procède en réalité selon un ensemble de postulats pragmatistes : tout ce qui est utile pour guider notre action humaine est considéré comme vrai. Ce mouvement d’aller-retour peut s’opérer dans une conversation, mais aussi « de soi à soi » lors d’une réflexion, ou encore à la lecture ou à l’écoute d’une ou plusieurs autres personnes. De l'éthique de la discussion. [1] Cette considération a un impact profond par rapport à l’apprentissage : le savoir a du sens. Lors de l'université d'été de Lyon 2021, un atelier éthique du débat a eu lieu sur le thème: Séparatisme islamiste. Une première interprétation, que l'on pourrait appeler deductive ou hypothético- déductive, veut que la maxime soit universalisable dans son application, c'est-à-dire que la norme ne se contredise pas à partir du moment où je l'imagine observée par chacun dans sa conduite. Situé en plein coeur historique de Gand, le long d'un petit canal, le bâtiment de la célèbre école de management est un ancien séminaire remis au goût du jour il y a peu. Les processus scientifique et cognitif), toujours est-il qu’il y a en quelque sorte un dialogue possible entre des représentations initiales et les nouvelles données, que celles-ci proviennent de l’expérience (y compris les expériences de pensée) ou d’interactions, de lectures, etc. [Cf. Ici, il convient - au regard des titres de ces deux ouvrages qui traitent du même sujet - de préciser la différence qu'entretient Habermas entre morale et . + 68 points. Cela relève du choix de croire, consciemment ou non. Démocratie et Spiritualité anime des sessions de Formation à l'éthique du débat et de la discussion, ne pouvant se réaliser qu'en présentiel. Il a dirigé le Max-Planck-Institut de 1971 à . Abel Olivier. En ce qui me concerne, je constate que je ne supporte pas les comportements pédants, le mépris, le rejet. Dans un entretien accordé à Liberté Politique, le théologien Xavier Lacroix explique son soutien "avec réserves" de l'avis 112 du CCNE relatif à la recherche sur les cellules d'origine embryonnaire humaine et la recherche sur l'embryon in vitro (cf. Tout d’abord, au niveau des présupposés fondamentaux. L. Jaffro (2001), Habermas et le sujet de la discussion, Cités, 2001/1 n° 5, p. 71-85, le lien ou le Pdf b. Les différentes visages de la . Celui-ci implique une attitude spécifique. Canivet Michel. Elles peuvent être consultées dans l'article original. b. l'éthique, un critère de fiabilité p.3. Comme le sport, on sait que c'est bon pour la santé, mais ça demande des efforts. Celui-ci a une raison d’être, ne serait-ce que parce que des personnes se sont interrogées à son sujet. Il dit simplement que ce n'est pas le seul paramètre à prendre en compte quand on conçoit une politique. Problématique (possibilité de la placer dans l'introduction) 3. Par ailleurs, l’idée de processus dynamique se retrouve également dans le parallélisme que je fais entre quatre philosophies « en trois temps ». C’est aussi, entre autres, les échanges avec Leibniz, et puis les penseurs précurseurs tels que Kepler et Galilée. À la vérité, la principale critique que l'on peut formuler à l'encontre de la thèse selon laquelle l'obligatoriété ne constituerait pas le critère discriminant de la norme, réside dans l'incapacité absolue de cette dernière . I. Mais il s'agit, dans tous les cas, d'une expérience sociale et publique. En somme, je ne plaide pas ici pour une éthique qui nierait toute dimension argumentative et parfois virulente de la discussion, du « clash » des idées ou des paradigmes. Développer la capacité à changer de point de vue : les enjeux de la “décentration”. En éthique animale, c'est le plus souvent le critère de la sentience qui est retenu pour étendre les limites du cercle de notre considération morale. Médias & informations : 40 activités pédagogiques pour le secondaire, De Boeck, 2014. Le fait que je dise cette phrase donne par ailleurs d’autres renseignements sur le réel (cf. Défense de l'éthique dans le domaine de l'autisme : au-delà de la représentation partielle. Pour résumer, on a un ensemble de règles du jeu qui invitent à combiner les points de vue, à les discuter, à les exposer de manière claire et rigoureuse, etc. Quid de ces tendances sociales des publics à s’exposer quasi exclusivement à ce qui ne bouscule pas trop leurs opinions ? la catégorie Enseignement, ainsi que mon mémoire, qui traite notamment du concept de métacognition. Je pense qu’en termes de transparence et de processus, cela peut s’avérer très profitable. En tant que tels, ils impliquent une sortie du cadre propice à une discussion constructive. Cependant, ces points de vue sont dommageables lorsqu’ils sont réifiés et érigés en dogmes, c’est-à-dire lorsqu’ils constituent la grille de lecture unique de tout phénomène. Il ne s’agit pas ici d’un doute nihiliste ou d’un relativisme radicaux : si l’on veut tenir une discussion sensée sur le réel, il importe de postuler certaines choses. Nous étendons cette considération au devoir-être d’une discussion constructive : la coopération est une « règle du jeu » s’il est question de tenir une telle discussion. Philosophie, médias et société, par Julien Lecomte. La seconde partie de l'ouvrage livre des repères sur l'agir éthique des personnels, au regard des problématiques qu'ils rencontrent aujourd'hui dans la relation aux élèves, pendant les heures d'enseignement et, plus globalement, dans le cadre de leur vie scolaire. L'allégorie de la caverne ou la réflexion kantienne sur les Lumières montre pourquoi. Or, il est important de souligner que les règles du jeu peuvent aller jusqu’à tolérer un climat de joute verbale, d’autant plus dans la mesure où très régulièrement, la discussion, c’est la guerre. présentation Christine Legner) 4. Or, si une telle attitude advient, on n’est plus dans le jeu, et donc le principe ne se contredit pas lui-même. Car elle commence par être hétéronome. C’est bien ce que j’exprime ici, et qui souligne une fois encore l’enjeu éthique de notre rapport à la connaissance : « Il faut adopter un méta-point-de-vue (A) qui rejette tout non-méta-point-de-vue (B) qui rejette des points de vue (de n’importe quel type). Concrètement, un combat de boxe est régi par des règles. Elle est incomplète, approximative. On n’est alors plus dans le jeu. La connaissance n’a pas de sens en soi, mais en tant qu’elle est un moyen de parvenir à des fins. L éthique de l environnement ou éthique environnementale anglais : environmental ethics est une branche de la philosophie de l environnement, principalement terme méta - éthique vient du mot grec méta par - delà, après et d un autre mot grec : éthique La méta - éthique est par - delà l éthique dans la mesure et de la pertinence des deux titres utilisés pour traduire, Éthique à . la catégorie Médias. Le cahier de la session du 3 décembre 2016, illustre notre démarche. Quatrième série, tome 90, n°85, 1992. pp. > Lire aussi : Philosophie et éthique de la communication. La notion d'éthique p.4. Chacun est responsable de lui-même! La réalité est complexe. Les cahiers du christianisme social. Comment faire (on est bien dans l’éthique, la question de l’action humaine) pour permettre une évolution des connaissances (et donc émanciper l’être humain, en augmentant son champ d’action critique et responsable sur le réel, c’est-à-dire en fonction de la raison d’être de cette connaissance) ? La notion d'éthique p.4. Les deux derniers mots-clés de cette énumération de règles du jeu correspondent à la coopération et à la construction. D’expérience, je n’ai jamais eu l’impression que ni la personne qui adopte un comportement pédant, ni son contradicteur à ce moment-là, ne sont ressortis grandis de leur expérience dans cette situation, du point de vue de la connaissance. Non, Comte-Sponville en refusant la sacralisation de la vie ne stigmatise pas le choix des personnes de vouloir rester en vie et de se protéger en conséquence. advient, on ne joue donc plus. Identification des solutions alternatives 7. Le principe d'universalité peut se comprendre de façon deductive ou intersubjective selon qu'il exige l'universelle applicabilité des maximes (Kant) ou leur universelle acceptabilité (Rawls, Habermas). La nécessité de légitimer moralement les p.2 prod uits/ services. Mais ce principe d'universalité peut se comprendre au moins de deux manières selon l'interprétation que l'on donne à l'exigence que la maxime puisse valoir pour tout être raisonnable. Continuons le raisonnement. Ici c'est moins F« ethos » d'Aristote que la « Sittlichkeit » de Hegel qui se profile, Peffectivité des mÅurs et des formes de vie éthique d'une société donnée, dont certaines auraient la propriété de conduire à l'autonomie de l'individu et à sa capacité à respecter des critères d'universalité : pour Habermas toute culture morale porte en son sein cette capacité à structurer la liberté de l'individu et sa socialisation en quelque contexte social que ce soit. Chacun veillera donc à la . RÉSUMÉ: Selon la version de l'éthique de la vertu la plus répandue (Hursthouse, 1991; Zagzebski, 1996), l'action moralement correcte dans des circonstances données est celle que ferait un agent pleinement vertueux dans ces circonstances.Ce critère soulève toutefois deux objections.
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